- Nombre de minibus pris dans les derniers 48h: 0
- Nombre de frontière franchie à pied durant ce même laps de temps: 0
- Nombre de fois où on a senti notre vie menacée à Joburgh depuis notre retour: 0
- Montant d'argent restant dans le compte en banque: 0
Beaucoup de chiffres 0! La fin approche. Tel que déjà mentionné dans le dernier blog, on a évité de prendre le bus pour traverser la frontière Afrique du Sud -Mozambique, l'une de nos plus sages décisions. Malgré tout, le (minuscule) aéroport de Maputo nous a offert quelques moments savoureux, incluant la cancellation du vol nous précédant, ce qui a mené au chaos et a fait sortir toute l'agressivité de cette marocaine de 50 ans qui tenait absolument à ce que personne ne la dépasse ou s'approche d'elle dans la file. Et que dire de cette Britannique mastiquant sa gomme avec beaucoup trop de puissance et prenant les autres passagers comme esclave personnel? C'est pas que cette duchesse ne semblait pas sympathique, mais on a quand même souhaité secrètement qu'elle manque son vol de connexion.
On a donc pu renouer avec Johannesburg, cette mystérieuse ville qui nous avait laissé l'impression que la Mort nous attendait à chaque coin de rue. Grâce à Monya, cette jeune professionnelle branchée qui a nous a si gentiment offert le gîte, nous avons pu découvrir une autre facette de cette ville, vraiment plus agréable et n'impliquant pas de rester embarrer dans une auto pour la visiter.
C'est donc après plus de 5 semaines à parcourir courageusement les routes de l'Afrique que nous prenons notre vol final ce soir pour parcourir plus de 12 000 km à bord de KLM et de ses délicieux repas trop fréquents.
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Ce délicieux et ultime restaurant à Joburg au Nelson Mandela Square, ce prestigieux endroit arborant fièrement cette statut du même nom et totalement disproportionnée |
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L'un des endroits secrets qui nous a fait aimer Joburg |
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Le thème: Jeunes professionnels branchés portant du bleu et un col blanc. C'est réussi. |
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